Au départ était la course à pied, l’athlétisme, puis au milieu des année 70 apparut le footing et dans les années 80 le running. Petit panoramique des évolutions culturelles et sportives de notre sport.
Pour le premier thème du Running Social Club, nous avons choisi de partir des bases. Celles qui ont poussé la plupart d’entre nous un jour à chausser des basket et à partir courir. Comme pour toutes les sagas, il existe une origine, une idée de base.
Un peu d’histoire…
La course à pied, n’a pas toujours été un sport, mais à l’origine un mode de déplacement. Une façon de voyager et d’échapper aux prédateurs. Au fil du temps, l’homme qui déjà à l’époque, possède l’esprit de compétition organise des courses pour mesurer qui court le plus vite et le plus longtemps, c’est la naissance des jeux olympiques antiques 8 siècles avant notre ère.
Par la suite et durant près de 2000 ans, le sport ne sera plus une préoccupation majeure. Il faudra attendre 1896 et un certain Pierre de Courbertin pour voir renaître les jeux olympiques à Athènes. Nous entrerons à nouveau dans une ère de compétition.
Un vent de contestation
Les années 70 sont un peu partout dans le monde des années charnières, des années de changements et de contestations. De ces rebellions naîtront des mouvements comme celui Hippies qui rejette les valeurs traditionnelles des aînés et prône pour de nouvelles perceptions sensorielles.
Les premières conséquences de ce changement, sont une pratique du sport plus orientée vers le loisir et la découverte de son corps et de ses sensations. Les gens se mettent à courir juste pour se sentir bien, sans esprit de compétitions. Plus tard, les athlètes s’affranchiront également des stades et des couloirs étroits des pistes d’athlétisme pour courir en ville ou en forêt. La révolution était en route.
A chaque révolution, ses héros !
Les années 80 marquèrent l’avènement du running, nous venions de quitter le footing juger trop “pépère” pour revenir à un mode de compétition “hors stade”.
La définition selon Wikipédia, : Le running s’inscrit dans le culte de la performance : courir plus longtemps ou plus vite par exemple. Pour les runners, qui l’exercent de façon régulière voire intensive, il se différencie du jogging qui reste une activité « du dimanche ».
L’histoire pouvait démarrer, restait à trouver des héros !
Décryptage par le Running Social Club
Pour revenir sur cette période des années 80 à nos jours, nous ferrons appel à des témoins de cette époque, qui de part leurs actions et leurs implications, sont des témoins privilégiés de ces années.
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